première saison de l'homme militaire au minimum de la survie martelant liberté égalité fraternité Wall Street on the crack cocaïne valium appuie sur le piston de la seringue la gâchette l'interrupteur moyennant un soulagement bref jusqu'au définitif mentalement acceptable de la similitude déifiée mastiquant marmonnant prières et incantations supplique pour arriver au mieux à la ligne plus toujours très blanche vaso constrictée ego dilaté ergots venimeux gare au retour sur la bordure des chemins détracés des hommes déconstruits malléabilité des cortex enfin Afrique démantelée Europe on the run US vidée et avide enchaînement des événements et les Mariannes échevelées les racines ne s'incrusteront plus sur nos mouroirs putrides et glauques l'enfance siège de nos désirs instantanés je veux et j'exige je veux je veux je veux tout de suite sans point de rencontre simultanément être heureux riche de ce que n'ont pas mes confraternels misérables détenteurs d'un bonheur préprogrammé dans leurs cordes dans leurs geôles larvées de solitudes équivoques l'escalier de nuit serpentant le long de l'univers immolé à la concupiscence émasculée tu le dis sans ambages traçant sur le sable de tes folies nirvanesque motorisées lentement du venin chaud et gluant je rêve subrepticement de la porte qui ouvre vers les égouts vitrifiés méthodologiquement rigoureusement balisés incurvés ne pas savoir ou tout savoir connaître la suite préparée ivre immanquablement au goût divin de la toute puissance dieu ou autre simulacre déguisant la voie de la vie à la fin morsure intolérable inquantifiable dieu ou autre vitrine magique détergent de nos angoisses de nos malheurs inqualifiables tatoué sur nos rêves graffitis sans suites isolés sommes nous par milliard j'invoque l'examen du néant aggravé déconvenue convenue d'entre toutes et de plus toujours plus comme si la mort allait nous rattraper et faire la grande razzia sur nos existences aussi misérables
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