Hier, au matin de douces chaleurs
Miroirs aux brumes translucides
Laissant planer le possible
paisible fureur
de l'étreinte immortelle
L'usure semblait
n'avoir jamais de prise
L'éternité au bout des doigts
les larmes de joie
terrassaientt le malheur
L'horizon
millésimé des baisers
myriade de particules
scintillantes
Jamais un regard en arrière...
Invaincu du temps passé...
Vie caressée à l'imparfait.
Mon livre : Lettres avec Elise version étendue
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Ce livre pourrait être un OVNI, cet objet qui est quelque part
inconnaissable et surtout ne saurait pas rentrer dans une norme, de fait.
Comme mon écriture...
Il y a 5 ans

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